Cette chaise s'est fait défoncer le fondement sans ménagement et de façon dévastatrice, semble-t-il. De plus, elle a été reléguée au rôle de simple soutien de porte-à-poules. Quand on sait que les chaises et les portes sont des ennemies naturelles (*), on mesure l'étendue des dégâts psychologiques. Cette chaise a donc, selon mes critères, une vie de merde. Bien vu, Girasol.
(*) Les chaises invitent à rester, à se poser, tandis que les portes invitent à se déplacer, à quitter sa chaise.

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