vendredi 29 janvier 2010
Rechute
Mais pas vraiment, en fait.
Je n'en avais pas acheté depuis le printemps dernier. Je pense donc avoir largement prouvé que mon mental était d'une fortitude exceptionnelle, et peux replonger sans vergogne dans mon délicieux vice.
De toute façon je reprends le võ dân tôc la semaine prochaine, alors je peux tout me permettre. Yeah, baby, yeah !
Rechute
jeudi 28 janvier 2010
De profundis
mercredi 27 janvier 2010
Littérature
Ben oui, quoi. Ça fait un an et demie que ce blog existe ; je n'allais pas éternellement vous laisser sans conseils littéraires. Après tout, ne suis-je pas le chantre du bon goût ?
Pour un début, Le Pays d'octobre (The October Country) fera extrêmement bien l'affaire.
Il n'y a pas grand-chose à dire. Lisez-le. C'est un recueil de nouvelles très courtes, donc c'est à la portée des moins liseurs d'entre vous.
Moi, grâce aux mères Noël je vais avoir la chance de le redécouvrir, en V.O. cette fois. J'ai déjà commencé, à vrai dire. Et comme toujours, je découvre le vrai fruit. Il est un peu amer car au pays d'octobre, voyez-vous, le soleil n'a pas vraiment sa place. Mais au pays d'octobre... non, je ne saurais pas vous dire. C'est trop délicat, et trop intense à la fois. J'ai pas les mots.
Si vous le lisez en V.F., evitez si possible la traduction de Doringe. Je vois qu'en 1995, je la jugeais "naze" (j'avais déjà un esprit d'analyse très fin, apparemment). Donc elle doit vraiment l'être, car en 1995 je n'étais guère aguerri en traduction. Alors t'as qu'à voir.
Pour un début, Le Pays d'octobre (The October Country) fera extrêmement bien l'affaire.
Il n'y a pas grand-chose à dire. Lisez-le. C'est un recueil de nouvelles très courtes, donc c'est à la portée des moins liseurs d'entre vous.
Moi, grâce aux mères Noël je vais avoir la chance de le redécouvrir, en V.O. cette fois. J'ai déjà commencé, à vrai dire. Et comme toujours, je découvre le vrai fruit. Il est un peu amer car au pays d'octobre, voyez-vous, le soleil n'a pas vraiment sa place. Mais au pays d'octobre... non, je ne saurais pas vous dire. C'est trop délicat, et trop intense à la fois. J'ai pas les mots.
Si vous le lisez en V.F., evitez si possible la traduction de Doringe. Je vois qu'en 1995, je la jugeais "naze" (j'avais déjà un esprit d'analyse très fin, apparemment). Donc elle doit vraiment l'être, car en 1995 je n'étais guère aguerri en traduction. Alors t'as qu'à voir.
Littérature
mardi 26 janvier 2010
Le mardi, c'est boucherie.
lundi 25 janvier 2010
Opticomiques
Je n'allais quand même pas vous laisser vous taper tout un lundi avec juste une recette de cuisine !
J'inaugure un nouveau thème : Opticomiques. C'est une tentative de jumelage avec les devantures pileuses de Chonchon. Il ne manque que son accord. On l'appelle tous ensemble ?
Chonchoooon !
J'inaugure un nouveau thème : Opticomiques. C'est une tentative de jumelage avec les devantures pileuses de Chonchon. Il ne manque que son accord. On l'appelle tous ensemble ?
Chonchoooon !
Opticomiques
Soupe au potimarron
C'est pas encore ce matin que ce blog va révolutionner l'univers (qui fait ça très bien tout seul), car on va faire une soupe.
Prenez un potimarron. Nettoyez-le car vous allez manger aussi l'écorce.
Coupez-le en deux. Une moitié vous suffira pour faire, à la louche (ha ha), trois assiettes de soupe.
Enlevez les pépins (les miens seront plantés chez la Reine-Mère, qui l'ignore encore mais sera bientôt ma fournisseuse de potimarrons), et coupez ce qui reste en petits morceaux. Mettez-les dans l'ustensile idoine, que je n'ai toujours pas pris en photo, et qui permet d'utiliser une casserole comme une cocotte-minute. On cuit à la vapeur, quoi. Mais sinon, hop, juste la casserole avec de l'eau dedans. Dans les deux cas vous faites cuire jusqu'à ce que ça soit bien mou.
Quand c'est cuit il vous reste de l'eau. C'est tant mieux car ça va vous aider à mouliner. Sans eau ce serait trop épais.
Après moulinage vous obtenez quelque chose qui a tout de la flaque de vomi, sauf le goût. Ah, la bonne sou-soupe !
Une prochaine fois j'essaie de cuisiner de jour, pour que vous ayez des photos moins moches.
Prenez un potimarron. Nettoyez-le car vous allez manger aussi l'écorce.
Coupez-le en deux. Une moitié vous suffira pour faire, à la louche (ha ha), trois assiettes de soupe.
Enlevez les pépins (les miens seront plantés chez la Reine-Mère, qui l'ignore encore mais sera bientôt ma fournisseuse de potimarrons), et coupez ce qui reste en petits morceaux. Mettez-les dans l'ustensile idoine, que je n'ai toujours pas pris en photo, et qui permet d'utiliser une casserole comme une cocotte-minute. On cuit à la vapeur, quoi. Mais sinon, hop, juste la casserole avec de l'eau dedans. Dans les deux cas vous faites cuire jusqu'à ce que ça soit bien mou.
Quand c'est cuit il vous reste de l'eau. C'est tant mieux car ça va vous aider à mouliner. Sans eau ce serait trop épais.
Après moulinage vous obtenez quelque chose qui a tout de la flaque de vomi, sauf le goût. Ah, la bonne sou-soupe !
Une prochaine fois j'essaie de cuisiner de jour, pour que vous ayez des photos moins moches.
Soupe au potimarron
samedi 23 janvier 2010
vendredi 22 janvier 2010
Ronde de nuit
Grâouuuuuuu !
Entendez-vous le brâme du tonton au fond des bois ?
Je voulais vous mettre un truc love en ce beau vendredi (je continue à étoffer la playlist, au fait), mais en ce moment mon love est contrarié et mon inspiration avec. Et puis, les hommes ont coutume de se réfugier dans la violence quand l'amour fait défaut (voir Souchon et ses jupes). Alors hop, je traditionne. Bref : je vous fourgue un vieux poème, que j'attendais d'améliorer mais finalement il devra faire l'affaire tel quel.
La bise !
Que n'ai-je un projectile,
Que n'ai-je un mortier,
Pour de ces volatiles
Débarrasser l'quartier !
Je voulais vous mettre un truc love en ce beau vendredi (je continue à étoffer la playlist, au fait), mais en ce moment mon love est contrarié et mon inspiration avec. Et puis, les hommes ont coutume de se réfugier dans la violence quand l'amour fait défaut (voir Souchon et ses jupes). Alors hop, je traditionne. Bref : je vous fourgue un vieux poème, que j'attendais d'améliorer mais finalement il devra faire l'affaire tel quel.
La bise !
Que n'ai-je un projectile,
Que n'ai-je un mortier,
Pour de ces volatiles
Débarrasser l'quartier !
Grâouuuuuuu !
jeudi 21 janvier 2010
Jeu urbain : 4 sur 26 (ou 28)
Je modère les commentaires. Ainsi, pas besoin de m'écrire un courriel : vous pouvez poster directement votre réponse et ce soir on verra qui qu'a gagné quand je démodérerai.
... Enfin, si vous trouvez. Mais ça commence à devenir sacrément facile, il me semble.
La réponse était : le Monopoly. Bravo aux gagnantes !
Jeu urbain : 4 sur 26 (ou 28)
mercredi 20 janvier 2010
mardi 19 janvier 2010
lundi 18 janvier 2010
A la soupe !
Tonton ajoute une corde à son arc culinaire (bientôt, il pourra jouer de la mandoline). Cette nouvelle corde, c'est la soupe. La bonne souplette ! C'est super facile à faire, encore plus que les cakes. Tu fais cuire des trucs légumineux, tu ajoutes de l'eau et tu mixes. Il faut donc un mixeur. Aaaah ben oui, faut cracher au bassinet.
Voici la recette de ma toute première soupe, il y a quinze jours. Je me souviens, c'était en hiver.
1.
Faire tomber et casser le pot d'épice super exotique qu'on m'avait offert, et dont je voulais agrémenter la soupe.
2.
Rester d'un calme olympien. Prendre une photo.
Se prosterner par terre et sauver ce qui peut l'être, en triant bien les poils de cul (sacré coloc).
Les garder pour une prochaine recette.
3.
- Rassembler les vieux légumes laissés pour morts avant les "vacances" de Noël.
- Les peler et les découper sans trop les regarder (ni trop les toucher), pour éviter des vomissements malvenus. Cela accélérerait le processus de fabrication de la soupe, mais Tonton ne fait pas dans la facilité.
4.
Foutre tout ça à cuire à la vapeur (plus rapide que dans une casserole d'eau qui bout), dans un ustensile merveilleux. Plus on a fait les morceaux petits (voir étape 3), plus ça cuit vite.
Oublier de prendre une photo de cette étape.
5.
Ajouter ces ingrédients de dernière minute qui feront toute l'originalité et la finesse de votre souplette.
Mixer le tout comme un psychopathe, en ajoutant votre enthousiaste "vroum-vroum" vocal à celui de la machine. C'est fun, la cuisine.
6.
Y a pas de 6. C'est fini !
Je l'aime bien épaisse, moi, la sou-soupe. Celle-ci a gardé la forme que vous voyez pendant plusieurs minutes. :)
Et hop, délicieux plateau télé.
Bientôt, je tenterai la recette de tartouze filée par Les Piles. Eh non, je n'ai pas oublié. :)
Voici la recette de ma toute première soupe, il y a quinze jours. Je me souviens, c'était en hiver.
1.
Faire tomber et casser le pot d'épice super exotique qu'on m'avait offert, et dont je voulais agrémenter la soupe.
2.
Rester d'un calme olympien. Prendre une photo.
Se prosterner par terre et sauver ce qui peut l'être, en triant bien les poils de cul (sacré coloc).
Les garder pour une prochaine recette.
3.
- Rassembler les vieux légumes laissés pour morts avant les "vacances" de Noël.
- Les peler et les découper sans trop les regarder (ni trop les toucher), pour éviter des vomissements malvenus. Cela accélérerait le processus de fabrication de la soupe, mais Tonton ne fait pas dans la facilité.
4.
Foutre tout ça à cuire à la vapeur (plus rapide que dans une casserole d'eau qui bout), dans un ustensile merveilleux. Plus on a fait les morceaux petits (voir étape 3), plus ça cuit vite.
Oublier de prendre une photo de cette étape.
5.
Ajouter ces ingrédients de dernière minute qui feront toute l'originalité et la finesse de votre souplette.
Mixer le tout comme un psychopathe, en ajoutant votre enthousiaste "vroum-vroum" vocal à celui de la machine. C'est fun, la cuisine.
6.
Y a pas de 6. C'est fini !
Je l'aime bien épaisse, moi, la sou-soupe. Celle-ci a gardé la forme que vous voyez pendant plusieurs minutes. :)
Et hop, délicieux plateau télé.
Bientôt, je tenterai la recette de tartouze filée par Les Piles. Eh non, je n'ai pas oublié. :)
A la soupe !
dimanche 17 janvier 2010
Haïti, la détresse, tout ça...
Lien pour faire un don : http://don.croix-rouge.fr/don.php?elk_daf_code=HT012
Par exemple.
Par exemple.
Haïti, la détresse, tout ça...
Nouveau thème : Les amies de Tonton ont de belles gambettes
Tonton déménage
Depuis peu, je cherche un nouvel appart, pour y vivre dans la solitude qui sied à un être aussi éthéré que wam.
Cette semaine, j'ai exploré le quartier de la station Commerces, dont on m'avait dit qu'il était un des plus vivants du 15e. Voici l'endroit que plus funky que j'ai trouvé :
Je n'irai pas habiter dans le 15e.
Cette semaine, j'ai exploré le quartier de la station Commerces, dont on m'avait dit qu'il était un des plus vivants du 15e. Voici l'endroit que plus funky que j'ai trouvé :
Je n'irai pas habiter dans le 15e.
Tonton déménage
samedi 16 janvier 2010
vendredi 15 janvier 2010
Seniors ? Mon cul, oui !
Ah, le temps d'avant le politiquement correct. C'était bien.
Vous noterez sur cette photo que les vieux ont leur propre milice, qui monte la garde pour qu'on ne pique pas cette enseigne hautement collectionnable. C'est pas aux vieux singes, etc, etc.J'ai malheureusement raté la relève de la garde, car j'allais là.
Regardez comme les jeunes sont taquins : ils ont fait un tag de garde, sur la maison d'à côté, pour se gausser. Leur garde est virtuel, du coup. Très jeune, ça.
Vous noterez sur cette photo que les vieux ont leur propre milice, qui monte la garde pour qu'on ne pique pas cette enseigne hautement collectionnable. C'est pas aux vieux singes, etc, etc.J'ai malheureusement raté la relève de la garde, car j'allais là.
Regardez comme les jeunes sont taquins : ils ont fait un tag de garde, sur la maison d'à côté, pour se gausser. Leur garde est virtuel, du coup. Très jeune, ça.
Seniors ? Mon cul, oui !
jeudi 14 janvier 2010
Resto presto
Chez Wako, ils te font une soupe en une minute.
(Plus tard) ... C'est bien ce que je pensais : ça fait pas tilt. Voici une aide audiovisuelle, que j'avais prévue au cas où :
Pub Royco Minut'soupe 1986 par odilederey
Resto presto
mercredi 13 janvier 2010
Des bas et des hauts (ce titre est nul)
Ce soir, c'était ma rentrée artistique. Sur les trois heures de séance (*), j'en ai passé deux et demie à me dire que j'étais un moins que rien. Et que je perdais mon temps à vouloir apprendre le dessin.
Et c'était particulièrement rageant de tout rater ce soir, parce qu'au lieu d'un vieux monsieur ou d'une vieille dame on a eu une jeune femme. Plutôt carrément belle.
Heureusement, pour le dernier quart d'heure (au bout de 15 minutes le modèle change de pose, fini ou pas fini) j'ai eu une pose facile, et j'ai fait un dessin que j'aime bien.
Voici le moins raté de la série naze...
Et voici le tout dernier, celui qui m'a empêché de jeter mes crayons dans la première poubelle venue.
Ah, et j'ai vu une jolie coquille-valise en rentrant chez moi. :)
(*) Je ne dis plus "cours", vu les trente secondes que la "prof" a passé à me parler. Il va vraiment falloir que je lui demande un cours où les élèves reçoivent du savoir. Parce que là, à part le luxe d'avoir un modèle à dessiner, j'aurais aussi bien pu être seul chez moi.
Et c'était particulièrement rageant de tout rater ce soir, parce qu'au lieu d'un vieux monsieur ou d'une vieille dame on a eu une jeune femme. Plutôt carrément belle.
Heureusement, pour le dernier quart d'heure (au bout de 15 minutes le modèle change de pose, fini ou pas fini) j'ai eu une pose facile, et j'ai fait un dessin que j'aime bien.
Voici le moins raté de la série naze...
Et voici le tout dernier, celui qui m'a empêché de jeter mes crayons dans la première poubelle venue.
Ah, et j'ai vu une jolie coquille-valise en rentrant chez moi. :)
(*) Je ne dis plus "cours", vu les trente secondes que la "prof" a passé à me parler. Il va vraiment falloir que je lui demande un cours où les élèves reçoivent du savoir. Parce que là, à part le luxe d'avoir un modèle à dessiner, j'aurais aussi bien pu être seul chez moi.
Des bas et des hauts (ce titre est nul)
Le mot du jour : farinet
On m'a récemment fait un beau cadeau : un vieux dictionnaire, d'un certain Contanseau. C'est un bilingue anglais-français qui date de 1877. Vous vous rendez compte ? Je kiffe comme un gros kiffeur.
Ce que j'aime, dans les vieux dicos, c'est qu'on y trouve des mots qui ne sont pas dans les dictionnaires actuels. Démonstration.
Sitôt rentré à la maison, j'ai ouvert mon nouveau trésor au hasard. J'ai trouvé « farinet ». Véridique mais bizarre, comme hasard. Car les mots sont notre farine, la seule que nous ayons.
Qu'est-ce que c'est, un farinet ? Ce mot ne figure ni dans le petit Robert 2007 ni dans mon gros bilingue Harrap's Unabridged en deux volumes.
Voici la définition donnée par Contanseau : « one faced die ».
… Un dé à une face ? Ça existe ? Je pensais que c'était une impossibilité, à moins de bafouer toutes les règles géométriques de l'espace-temps dans lequel nous vivons. Et là ce serait la merde, car Cthulhu reviendrait. Et mon coup de pied chassé est loin d'être au point.
Mais je m'égare. Je trouve le farinet mentionné dans un Larousse d'étymologie : « 1701, Furetière, dé à jouer » Le mot Furetière n'est pas dans le Robert, mais au moins ça confirme que le farinet est une sorte de dé.
Bon, OK : je cherche sur internet.
« Sans doute de farine, à cause que ce dé était blanc sur toutes ses faces excepté une. » (http://fr.wiktionary.org/wiki/farinet)
Vous noterez la faute, sûrement pas présente dans l'extrait de Littré que Wiki revendique comme source. Ou alors ce n'était pas une faute à l'époque.
Nous avons notre explication ! Le farinet a bien six faces, mais toutes sont blanches sauf une. Étonnant, non ? A quoi peut bien servir un tel dé, et quel est le chiffre figurant sur la face que nos esprit avides visualisent désormais ?
Je ne sais pas vous, mais moi j'en peux plus de ce suspens. Je replonge dans la toile. Que se passera-t-il si j'ajoute « Furetière » à ma recherche ?
http://www.archive.org/stream/dictionnaireuniv04fure/dictionnaireuniv04fure_djvu.txt
« FARINET. Efpèce de dé à jouer qui n'a qu'une de fes faces marquée de points. Jouer aux farinets : on en prend ordinairement fix. »
On n'est guère plus avancés. Et j'apprends au passage que Furetière est en fait le nom d'un lexicographe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Fureti%C3%A8re), pas un synonyme de farinet.
Ah là là, c'est coton ! Je ne me démonte pas, je change d'angle.
Ici, une autre confirmation : « farinet dé à jouer marqué sur une seule face »
http://www.forum-poetique.net/lou-vieux-francoys-f164/lexique-de-vieux-francais-de-a-a-j-t3252.htm :
Idem ici :
http://books.google.fr/books?id=atcSAAAAYAAJ&pg=PA309&lpg=PA309&dq=farinet+d%C3%A9+face&source=bl&ots=JhfJH9YsKh&sig=3NGPMJU1fSvuwZd_TuIJHg16wss&hl=fr&ei=DvBNS5ekNNOx4QaW6b3xDw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=10&ved=0CCkQ6AEwCTgK#v=onepage&q=farinet%20d%C3%A9%20face&f=false
Et ici :
http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:Zn3l918PFN0J:www.torgan.net/IMG/pdf/Dictionnaire_medieval_1_.pdf+farinet+d%C3%A9+face&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESgmO7l9iP-jfSyPMdRXBm8vx42zV8hN3_W6tMSxDsGfyNax6Q1By0yflQ7sr86jsBayJKpkgs-vtukSvmszMUSdBQCzhA461R3EuTiU8A167n-kTGeFkyTkcKRBPOsuTZX_vsmH&sig=AHIEtbR1t-a14zSsYKO6dvKnokSZzWTMIA
Petite précision ici : « FARINET. s. m. Dé à jouer qui n'est marqué que sur une de ses faces. Jouer aux farinets. »
(http://portail.atilf.fr/cgi-bin/getobject_?p.7:86./var/artfla/dicos/ACAD_1835/IMAGE/)
Bon, j'en ai ma claque. Pour aujourd'hui. On sait que le farinet est blanc sur cinq faces et porte un chiffre mystérieux sur la sixième.
Mais comme on sait aussi qu'on dit « jouer aux farinets », et qu' « on en prend ordinairement fix » (sic), il me vient cette idée : peut-être que chacun des six dés est marqué d'un chiffre différent, de façon à ce qu'avec les six dés, on ait les six chiffres.
Bref. Il n'est pas mignon, notre élusif farinet ? Ne méritait-il pas de rester dans notre lexique ?
Je sais bien qu'il n'est pas possible de garder tous les mots. Si on le faisait, les dicos deviendraient des monstres impossibles à soulever (ou en plusieurs volumes), et très chers. Mais quand même, ça m'énerve qu'un groupe restreint de personnes (les éditeurs de dicos) décident de quels mots vont rester ou pas à portée de nos regards.
Il y a les encyclos, je sais, mais tout le monde n'a pas une encyclo sous la main. D'ailleurs, sont-elles si exhaustives que ça ? Je n'en ai pas, donc ne peux vérifier moi-même. Si ça vous tente...
Conclusion de ce trop long billet : cherchons, conservons, chérissons et surtout utilisons les vieux dicos ! Car (je le répète) les mots sont notre farine, la seule que nous ayons.
Le mot du jour : farinet
Photo-mystère numéro whatmille
Rappel : quand on a trouvé la réponse, il est plus sport de me l'envoyer par courriel plutôt que de la mettre en commentaire. Ainsi, vous laisserez les autres se ridic... vous laisserez le temps aux autres de jouer aussi (cf l'idée imaginative de Bulle). Et le soir j'annonce le gagnant. Aujourd'hui, c'est Samuel. Bravo !
Voici l'indice que je comptais vous donner...
Et voici l'objet. C'était ma première souris, à bille donc, qui datait de 1998 ! Ou 1997, je ne sais plus.
Je l'ai jetée, vu que Tonton lâche du lest. Mais j'ai gardé la bille. Faut pas déconner, non plus.
Photo-mystère numéro whatmille
mardi 12 janvier 2010
lundi 11 janvier 2010
dimanche 10 janvier 2010
Aglagla
samedi 9 janvier 2010
vendredi 8 janvier 2010
La merditude de l'orthographe (de certains)
Que les choses soient claires. L'accent circonflexe n'est pas un jouet. La ponctuation est un outil. Elle sert à quelque chose et on ne la met pas au hasard, pour la déco.
Il se trouve qu'une des missions de Tonton est de pourfendre l'ignorance, et d'apporter aux humains la douce et réchauffante lumière de la connaissance (tas de tanches, va). Je n'hésite donc pas une seule seconde à prendre dix minutes de mon temps pour éclairer la lanterne de certains, mais ensuite quand même je retournerai à mon épisode de House.
Le faîte de quelque chose, c'est son sommet. Par exemple on peu parler du faîte d'un arbre, ou du faîte d'un bâtiment. Le faîte est aussi un type de poutre, mais je ne veux pas vous embrouiller alors restons-en là.
Moyen mnémotechnique : l'accent circonflexe ressemble lui-même à un petit toit, donc au sommet de quelque chose.
"Faites", en revanche, n'est pas un nom mais une forme verbale. Du verbe "faire", très connu de tous. On écrit "Vous faites".
C'est ce qui s'appelle mettre les points sur les "i", je crois.
Il se trouve qu'une des missions de Tonton est de pourfendre l'ignorance, et d'apporter aux humains la douce et réchauffante lumière de la connaissance (tas de tanches, va). Je n'hésite donc pas une seule seconde à prendre dix minutes de mon temps pour éclairer la lanterne de certains, mais ensuite quand même je retournerai à mon épisode de House.
Le faîte de quelque chose, c'est son sommet. Par exemple on peu parler du faîte d'un arbre, ou du faîte d'un bâtiment. Le faîte est aussi un type de poutre, mais je ne veux pas vous embrouiller alors restons-en là.
Moyen mnémotechnique : l'accent circonflexe ressemble lui-même à un petit toit, donc au sommet de quelque chose.
"Faites", en revanche, n'est pas un nom mais une forme verbale. Du verbe "faire", très connu de tous. On écrit "Vous faites".
C'est ce qui s'appelle mettre les points sur les "i", je crois.
La merditude de l'orthographe (de certains)
Inscription à :
Articles (Atom)