samedi 6 juin 2009

Réfugié climatique

Ce matin, en allant au boulot à vélo, il pleuvait. Et une fois de plus, j'ai eu des pensées un tantinet hostiles pour le sombre individu qui me vola mon pare-boue arrière.
Ah, qui chantera assez la triste résignation du cycliste qui sent son slip se gonfler non pas de joie, mais d'eau de pluie ?


Les godasses imbibées : rien à voir avec le pare-boue, mais mes pieds mouillés ont fait autant pour ma jovialité du jour que mon rhume de fesses. Atchoum !

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4 commentaires:

  1. Dans mon sac à dos, j'ai une mini serviette (les serviettes à mains) pour essuyer ma selle.

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  2. Oui mais là il s'agit d'un manque de pare-boue arrière, qui entraîne donc un arrosage continu du séant de Tonton, par le truchement de la roue arrière, en contact elle-même avec le sol mouillé.

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  3. "par le truchement" ;-) hihi, je n'emploie jamais cette expression.

    Ce serait pas toi qui aurait doublé l'épisode de Desperate que je viens de regarder, où une nana dit : "A la bonne heure !"
    Meuh non, je me moque pas !!!

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  4. Content que ça te fasse sourire. Les vieilles expessions, j'aime ça. Il faut les utiliser sinon elles mourront !

    Il n'y a pas le nom de l'adaptateur, à la fin des épisodes ? C'est quelle chaine, déjà ?

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Mto La Grand Combe