lundi 1 juin 2009

Photos d'aujourd'hui

Il faisait beau cet aprèm, près du stade Suzanne Langlen.

Mais le piou-piou est mort. :(
Je l'avais vu hier et voulu le recueillir car il avait l'air groggy, mais il s'était enfui. J'aurais dû être plus rapide.

Le soir tombe, Tonton rentre dans son aire. Le ciel est beau. Peut-être pour accueillir le piou-piou ?


Presqu'arrivé à la maison, un attroupement : accident de voitures de flics. J'étais camouflachh (donc pas de photos détaillées) car ces messieurs-dames voulaient empêcher les gens de prendre des photos. Ils ont le droit ?
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4 commentaires:

  1. Non, en principe, les flics n'ont pas le droit d'empêcher les gens de prendre de photos quand ils sont en public, comme ça... Mais cela ne les empêche pas de le faire, les petits filous ! Faudrait que je te trouve une référence exacte à ce sujet : demain, si j'y pense.

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  2. Ah oui, je suis preneur. Merci d'avance et welcome back !

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  3. Bon, j'ai trouvé ceci pour l'instant : http://www.rue89.com/explicateur/2009/03/18/ce-que-manifestants-et-policiers-ont-le-droit-de-faire-ou-pas

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  4. Merci Samuel !

    D'après l'extrait pertinent, reproduit ci-dessous, les policiers n'ont que très rarement le droit d'empêcher les photos ou films, pour peu que ça se passe sur la voie publique. Quand ils le font c'est donc en misant sur la non-connaissance de la loi de leurs concitoyens.
    Enfin, je dis "la loi" mais bien sûr pour bien faire il faudrait avoir la ou les source primaires (textes de loi).


    "La règle générale est la liberté de photographier ou de filmer les forces de l'ordre. Elles ne peuvent pas s'opposer à l'enregistrement de leur image lorsqu'elles effectuent une mission dans un lieu public. Que ce soit un journaliste ou un particulier qui filme ou photographie, la liberté de l'information prime sur le droit à l'image ou au respect à la vie privée.

    Des exceptions existent cependant : cette règle générale est en vigueur dès lors qu'elle n'est pas dévoyée par une atteinte à la liberté de la personne ou au secret de l'instruction (il est par exemple interdit de publier une image d'une personne menottée ou d'une reconstitution judiciaire). Dans ces cas, la prise d'images ne peut pas être interdite, mais leur diffusion nécessite une absence de possibilité d'identification (un floutage par exemple).

    Autres exceptions : les forces de l'ordre ne bénéficient d'aucune protection particulière en matière de droit à l'image, sauf si elles sont affectées dans des services d'intervention (Raid, GIGN, GIPN, BRI, sécurité du Président…), à la lutte anti-terrorisme ou au contre-espionnage, en vertu de l'arrêté du 27 juin 2008 relatif au respect de l'anonymat de certains fonctionnaires de police. Dans ces cas, la prise comme la diffusion d'images peuvent être interdites.

    Enfin, un gendarme ou un policier ne peut pas saisir un appareil photo ni une caméra, ou son contenu. Sauf s'il s'agit d'un officier de police judiciaire habilité par le parquet à l'effectuer. Mais cette mesure est rarissime et nécessite donc l'autorisation d'un magistrat."

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Mto La Grand Combe