Rholala ! Ce que j'ai pu emballer là-dessus ! Par contre, je ne te remercie pas pour le coup de vieux : j'ai presque le double de l'âge que j'avais à l'époque... bouhouhouu ! Petit problème d'arithmétique pour toi, ami blogueur, qui as du temps à perdre : quel âge ai-je donc ? D'ailleurs, tu me répéteras cette phrase dix fois très vite. Ça ne t'aidera absolument pas à résoudre le problème, mais ça fait travailler les muscles de la langue. D'ailleurs, savais-tu que ceux-ci sont au nombre de 15 ? Je suis sûre que tu sauras utilement replacer cette information dans une conversation mondaine...
Je me souviens de l'instrumental sur la "face B" de la cassette deux titres. Je l'écoutais plus souvent que la face A (pratique avec une cassette !). Je ne me souvenais pas du tout du clip : ah, les regards du mannequin brun, la course sur la plage... C'est beau !
Aaah, quel douce brise, et quelle violente rafale.
Cilou : Tiens, toi aussi tu as besoin de dormir. :)
Girasol : Alors, selon la formule de Cilou... euh... non, rien à faire. Même par curiosité, je suis trop nul en calcul.
Pauline : Ma poussineeeeette ! C'est vrai que tu es à fleur de coeur, toi. Et cette chanson est redoutable. D'ailleurs même Tonton, ce vieux baroudeur au cuir racorni par mille soleils, cet aventurier à la carapace musculaire invraisemblable de tonicité, ce guerrier de l'espace à la sensibilité estompée par mille combats sanglants et mille ennemis achevés sans pitié, ce poète à la grosse verve turgescente, ce... ce... ... Euh... Ah putain, j'ai perdu le fil. Eh merde. Moi et mes phrases à rallonge ! J'allais vous dire un truc super important, en plus.
Euh non, je ne suis jalouse que d'une personne (dans l'univers) : Bill Gates. J'aimerais avoir son compte en banque. Après, je me retire sur mon île privée. Quant à la chanson, elle est belle, c'était aussi UNE de mes chansons préférées. À cause du piano !
Euh, idéaux, c'est vite dit. À part son compte en banque, Bill n'a vraiment aucun intérêt. Y a des jours où j'en ai juste assez de travailler pour des clopinettes parce que c'est la crise et que les agences veulent conserver leurs marges !
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Rholala ! Ce que j'ai pu emballer là-dessus !
RépondreSupprimerPar contre, je ne te remercie pas pour le coup de vieux : j'ai presque le double de l'âge que j'avais à l'époque... bouhouhouu !
Petit problème d'arithmétique pour toi, ami blogueur, qui as du temps à perdre : quel âge ai-je donc ?
D'ailleurs, tu me répéteras cette phrase dix fois très vite. Ça ne t'aidera absolument pas à résoudre le problème, mais ça fait travailler les muscles de la langue.
D'ailleurs, savais-tu que ceux-ci sont au nombre de 15 ? Je suis sûre que tu sauras utilement replacer cette information dans une conversation mondaine...
Je me souviens de l'instrumental sur la "face B" de la cassette deux titres. Je l'écoutais plus souvent que la face A (pratique avec une cassette !).
RépondreSupprimerJe ne me souvenais pas du tout du clip : ah, les regards du mannequin brun, la course sur la plage... C'est beau !
Excellent ! Mes quinze ans en pleine face... (c'est vrai qu'il est moche, ce clip)
RépondreSupprimerBen moi, qu'est-ce que j'ai pu chialer sur cette chanson !!!
RépondreSupprimerAaaaaaaah, je me le réécoute. Je vous lis juste après, promis.
RépondreSupprimerAaah, quel douce brise, et quelle violente rafale.
RépondreSupprimerCilou :
Tiens, toi aussi tu as besoin de dormir. :)
Girasol :
Alors, selon la formule de Cilou... euh... non, rien à faire. Même par curiosité, je suis trop nul en calcul.
Pauline :
Ma poussineeeeette !
C'est vrai que tu es à fleur de coeur, toi. Et cette chanson est redoutable. D'ailleurs même Tonton, ce vieux baroudeur au cuir racorni par mille soleils, cet aventurier à la carapace musculaire invraisemblable de tonicité, ce guerrier de l'espace à la sensibilité estompée par mille combats sanglants et mille ennemis achevés sans pitié, ce poète à la grosse verve turgescente, ce... ce...
... Euh...
Ah putain, j'ai perdu le fil. Eh merde. Moi et mes phrases à rallonge ! J'allais vous dire un truc super important, en plus.
Tonton :
Ah ben non, ça c'est moi.
Ah, chuis pas fou quand même : je savais bien que j'avais oublié quelqu'un : Jackiiiiie !
RépondreSupprimerÇa va bien, ou bien ?
Merci pour l'info sur la face B. C'est donc plus joli encore sans les paroles ? Ça paraît à peine possible.
J'allais dire...
RépondreSupprimerA l'époque, je trouvais l'instrumental plus joli. En fait, les deux se valent.
C'est le piano qui fait tout le charme.
RépondreSupprimerBen vas-y, gâche -moi ma chanson préférée de l'univers !
RépondreSupprimerTout ça parce que j'ai appelé Pauline "poussinette". C'est pas joli-joli, la jalousie.
C'est pas Unchained Melody ta chanson préférée de l'univers ?
RépondreSupprimerUn rapide calcul me permet de te dire que non.
RépondreSupprimerEuh non, je ne suis jalouse que d'une personne (dans l'univers) : Bill Gates. J'aimerais avoir son compte en banque. Après, je me retire sur mon île privée.
RépondreSupprimerQuant à la chanson, elle est belle, c'était aussi UNE de mes chansons préférées. À cause du piano !
Pour Billy Boy : no comment. Chacun des idéaux.
RépondreSupprimerPour la chanson : ah, vu comme ça OK. Mais faut pas décortiquer l'émotion !
Euh, idéaux, c'est vite dit. À part son compte en banque, Bill n'a vraiment aucun intérêt. Y a des jours où j'en ai juste assez de travailler pour des clopinettes parce que c'est la crise et que les agences veulent conserver leurs marges !
RépondreSupprimerOK, OK.
RépondreSupprimerAh oui ? Carrément turgescente ?
RépondreSupprimerYou have no idea. :)
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerMmmmmmmmm... ça fait du bien, les petites madeleines comme ça !
RépondreSupprimerElles disent toutes ça.
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