Il y a 1 jour
mercredi 24 février 2010
Love and cheesecake
L'avantage, pour nous les hommes hétérosexuels, c'est que notre moitié est une femme. Par conséquent, parfois, elle ne finit pas son dessert.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
L'homme hétérosexuel lorgne donc la disparition progressive du dessert en attendant fébrilement le moment où sa mie va peut-être poser sa cuiller et déclarer forfait ? Intéressant, à observer ;D
RépondreSupprimerOuais, mais parfois la moitié est plus gourmande que l'homme hétérosexuel. Au resto, c'est souvent moi qui finis le dessert de The Man. La faute à l'onglet de 500 g qu'il a cru bon de s'envoyer juste avant, alors que je me suis sagement contentée d'une poêlée de gambas aux petits légumes. It's all about strategy.
RépondreSupprimerHé hé, bien joué, les piles ! Moi je suis plutôt un bec salé (sauf pour le chocolat), j'ai tendance à me lâcher sur l'entrée et le plat... et donc l'homme hétérosexuel finit mon dessert. Remarque, tout le monde est content.
RépondreSupprimerAh, ça c'est du débat.
Oui, hein ? :)
RépondreSupprimerCette théorie ne fonctionne pas du tout chez moi : je finis le dessert de l'homme et des enfants !!!!
RépondreSupprimer(Tonton, honnêtement, t'en as rencontré beaucoup des femmes qui ne finissent pas leur dessert ?)
Etant dans la même catégorie que notre cher Tonton je confirme; je fini souvent le dessert de ma douce, parfois aussi l'entré et le plat. D'où quelques poignées d'amour glamour.
RépondreSupprimerOuf ! Merci, Soulex. Ma théorie commençait à s'effriter.
RépondreSupprimerD'ailleurs, qui finit les frites ? Autant poser la question ici.
Na, tu as raison, maintenant que j'y pense je n'en ai peut-être rencontré qu'une. Raison de plus pour me la garder.
Des poignées d'amour ?
RépondreSupprimerOù est passé le svelte guerrier-vampire qui m'arracha presque des larmes d'admiration ?
J'aime pas les frites, donc c'est lui qui les finit comme un grand. Cet atout me permet de manoeuvrer en toute légèreté jusqu'au dessert (et demi).
RépondreSupprimerBlogger me demande de taper "demid"(essert ?) pour valider mon commentaire, je vais finir par croire qu'il s'intéresse vraiment à ce qu'on raconte.
Ah, les frites, sujet sensible !! Chacun finit les siennes, comme ça pas de jaloux.
RépondreSupprimerTudieu ! Que de stratégies et de conventions nous avons, avec le miam !
RépondreSupprimerMais oui, mais le miam c'est plus que vital. Et visiblement, ici on se retrouve entre gens qui savent ce qui est important. Ah, et je préviens, moi on touche pas à mes frites, en revanche (je répète...)
RépondreSupprimer