Alors que je déambulais en prenant des photos automnales, me laissant aller au vague à l'âme ineffable qui... sur quoi que je tombe, me faisant faire un double take que j'ai failli me démettre un os du squelette ?
Une chaise abandonnée. Mise à la rue.
LES SALAUDS ! Dans la froidure et dans le crachin, sans pitié. Au début des vacances, en plein été, passe encore. La misère est moins pénible au soleil, chevrote encore Charlie dans son sonotone. Mais là... J'étais tellement bouleversé que je n'ai même pas pu l'achever.
Une chaise abandonnée. Mise à la rue.
LES SALAUDS ! Dans la froidure et dans le crachin, sans pitié. Au début des vacances, en plein été, passe encore. La misère est moins pénible au soleil, chevrote encore Charlie dans son sonotone. Mais là... J'étais tellement bouleversé que je n'ai même pas pu l'achever.
Oui, mais vraisemblablement pas assez bouleversé pour l'emporter (faut dire que les couleurs sont franchement gerbiques ; enfin, à mon avis). Qui sait, peut-être qu'à l'heure qu'il est quelqu'un a flashé sur ces tons survitaminés et qu'elle a trouvé une nouvelle famille ?
RépondreSupprimerN'empêche que la photo du dessus est très belle, avec cette fois de fort jolies couleurs (toujours à mon humble avis).
RépondreSupprimerChez moi j'ai plutôt pas assez de place. Alors...
RépondreSupprimerEt puis, je ne veux pas finir par être "le vieux monsieur qui adopte toutes les chaises errantes". Déjà que les gens m'apportent plein de canards...
Merci !