Ce matin, en allant au boulot à vélo, il pleuvait. Et une fois de plus, j'ai eu des pensées un tantinet hostiles pour le sombre individu qui me vola mon pare-boue arrière.
Ah, qui chantera assez la triste résignation du cycliste qui sent son slip se gonfler non pas de joie, mais d'eau de pluie ?
Les godasses imbibées : rien à voir avec le pare-boue, mais mes pieds mouillés ont fait autant pour ma jovialité du jour que mon rhume de fesses. Atchoum !
Il y a 1 jour
Dans mon sac à dos, j'ai une mini serviette (les serviettes à mains) pour essuyer ma selle.
RépondreSupprimerOui mais là il s'agit d'un manque de pare-boue arrière, qui entraîne donc un arrosage continu du séant de Tonton, par le truchement de la roue arrière, en contact elle-même avec le sol mouillé.
RépondreSupprimer"par le truchement" ;-) hihi, je n'emploie jamais cette expression.
RépondreSupprimerCe serait pas toi qui aurait doublé l'épisode de Desperate que je viens de regarder, où une nana dit : "A la bonne heure !"
Meuh non, je me moque pas !!!
Content que ça te fasse sourire. Les vieilles expessions, j'aime ça. Il faut les utiliser sinon elles mourront !
RépondreSupprimerIl n'y a pas le nom de l'adaptateur, à la fin des épisodes ? C'est quelle chaine, déjà ?