Prochainement dans la Bise, un billet sur le regretté Malabar. Je pensais pouvoir faire ce billet en 5 minutes mais finalement il y a plus de choses à dire que je ne le pensais. Donc rendez-vous plutôt ce week-end, et en attendant si vous avez des photos de ce chewing gum, SVP envoyez-les moi. Je les publierai si je peux.
Et, toujours dans ma politique de "Ne laisse pas tes poussinous sans rien", voici de quoi contrebalancer l'effet de la photo d'hier. Bon appétit, et merci au Transilien !
Mmmh, Yummy ! Où l'on constate que les banquettes en moleskine des vieux trains de banlieue gris, ça collait peut-être aux cuisses l'été, mais ça vieillissait mieux !
RépondreSupprimerEt pour faire mon empêcheuse de tourner en rond, ce genre de dégoulinades, en général, ce sont les dernières traces de nettoyage n'ayant pas encore séché. C'est vrai que ça fait crade quand de la crasse se redépose immédiatement dessus, mais au moins c'est un signe que ça a été nettoyé ;)
Signé Chonchon, la justicière de la banlieue ! Tatadaaaa !
RépondreSupprimerOK, la prochaine fois qu'un clochard pisse dans le compartiment (à deux mètres de moi, l'enflure), je le filme.
RépondreSupprimerTraces de nettoyage... Non mais j'te jure, qu'est-ce qu'il faut pas lire !
C'est un Malabar Bi-goût !
RépondreSupprimerOui. J'ai flouté mais ça se voit quand même. J'aime pas les bi-goûts, mais je n'avais pas d'autre image jolie sous la main.
RépondreSupprimerTonton, désolé de te contredire mais Malabar existe toujours, j'ai d'ailleurs été étonné de voir il y a quelques jours une pub à la télé de malabar. Moi aussi je croyais qu'il n'existait plus!!
RépondreSupprimerLe nom reste, mais le personnage non. À suivre.
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