Samedi soir, après une fort belle soirée, j'arrive à mon changement de Stalingrad vers 01h50. Au bout de presque 10 minutes, contredisant l'affichage qui annonce une rame dans 10 minutes, une voix au haut-parleur nous annonce qu'il n'y a plus de trains dans ma direction.
Paris, c'est vraiment une ville naze. Une des grandes capitales du monde occidental, et même pas de transports en commun 24h sur 24. Mi-nable.
J'étais moyennement content de finir la route à pied (pas un tacos de libre), non seulement parce que j'avais bu pas mal de banga mais surtout parce que j'étais vachte chargé : la soirée était également l'occasion pour des amis de vendre et donner des affaires à eux. Tonton avait du butin à foison. Dont un supra-bouquin que je vous raconterai une autre fois.
Bref, j'ai mis 27 minutes chrono pour faire Stalingrad-les Abbesses à pied, chargé comme on voit ci-dessous. C'est pas de l'athlète, ça ? :)
Avec les sacs
Sans les sacs... C'est mon manteau qui est lourd, hein, je ne pèse pas vraiment 79 kilos. Et j'avais de la monnaie dans la poche...
Mine de rien, les godasses c'est lourd.
Et mon porte-clé est en métal. Hem.
Il y a 1 jour
Et tu t'es pesé à presque 3h du mat' ? Qu'est-ce qu'on ferait pas pour son blog... ;-)
RépondreSupprimerOuaip. C'est devenu un réflexe. Mais j'étais, de toute façon, curieux de savoir combien j'avais trimballé.
RépondreSupprimerah la la, pas cool, ça. tu devais être bien dég...
RépondreSupprimerAu début oui, surtout vis à vis de la RATP (aujourd'hui c'était la Poste, je vous raconterai peut-être).
RépondreSupprimerPuis j'ai pris cet incident comme ce qu'il était : une occasion de plus de me renforcer.
Ceci dit, si j'ai perdu dans le trajet l'objet que je n'arrive pas à retrouver depuis dimanche, là je serai bien deg'.