Choupinets, non ?Le métro parisien sert tantôt de dortoir, tantôt de salon de lecture. C'est sûrement la plus grande bibliothèque de la ville.
Mais il ne sert pas de parloir. En tout cas, je n'y vois jamais des gens aborder des inconnus pour taper la discute.
ah tiens...ca doit être une rêgle universelle pour les transports en communs!
RépondreSupprimerMa soeur et moi, on doit avoir une bonne tête. Une femme nous a parlé pendant un quart d'heure de ses deux tentatives de suicide (à cause de son copain qui l'a quittée), de Simply et du sorbet à la framboise qui aide à digérer. Ce n'était pas vraiment une conversation mais plutôt un monologue.
RépondreSupprimerÇa m'est arrivé quelques fois d'aborder des inconnus dans le métro et dans le bus et ça s'est bien passé à chaque fois mais bon, c'était dans les années 90. Maintenant, c'est coups de sac ou de genou pour ne pas dire pardon. Pas de ma part parce que moi, je suis polie.
Géniale photo !!
RépondreSupprimerMandy :
RépondreSupprimerPeut-être surtout en Occident. En tout cas, dans mon imagination on bavasse nettement plus dans les bus de Bolivie que dans ceux qui passent en bas, à Pigalle.
Nuku :
At-elle conclu en déclarant que le sorbet aidait aussi à digérer les ruptures ?
Bravo pour tes abordages ! Je n'ai encore jamais eu ce courage (ou l'envie). Sauf une fois (au moins), dans le métro, pour draguer.
... Madoué, ce râteau !
Pauline :
Merci !
J'hésite un peu à mettre des gens en scène, bicoze leur droit à l'image. Mais bon, là l'image était trop séduisante, et puis je ne dis pas de mal.
C'est certain que le sorbet aurait fait moins de dégâts que les médicaments qu'elle a pris.
RépondreSupprimerPour les abordages, pas difficile. Une femme lisait un livre qui m'intéressait et l'autre portait un pendentif qui m'intéressait.
Mais, je ne le ferai plus.
"m'intéressait" deux fois. La honte pour une traductrice. Tant pis, je ne travaille pas pour le moment.
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